Face à l'inaction du gouvernement quant au dérèglement climatique, l’envie ne nous manque pas de lui casser du bois sur le dos ("Le battre").

Mais touchons du bois ("Désigne un geste superstitieux pour conjurer le mauvais sort") en espérant qu’une majorité de français souhaite donner une volée de bois vert ("Infliger une correction") à ces têtes de bois ("Avoir la tête dure") pourvues d’une langue qui ne l’est pas moins ("Langage figé, notamment de la propagande politique").

Et ce, en se mobilisant le 28 mars, à la veille de l’entrée du texte de loi à l’Assemblée Nationale, pour exiger une loi ambitieuse et défendre les mesures proposées par les 150 membres de la Convention citoyenne pour le Climat.

Car s’il ne faut pas juger du bois par l'écorce ("Il ne faut pas juger les gens sur leur mine"), nous savons déjà que le projet de Loi Climat déposé par le gouvernement aura l’effet d’un emplâtre sur une jambe de bois ("Sans aucune efficacité").

Soyons du bois dont on fait les héros ("Courageux") et sortons du bois ("Se manifester, apparaître au grand jour" ) - en tachant d'oublier qu’il n’est feu que de bois vert ("Seule la jeunesse est capable d'ardeur") - afin d’abattre du bois ("Faire de la besogne") et montrer de quel bois nous nous chauffons ("Montrer ce dont on est capable").

Rejoindre la Marche du 28 mars
Attestation de déplacement dérogatoire